La culture du palmier à huile en Côte d’Ivoire représente un potentiel économique immense. En pleine maturité, le palmier peut offrir un rendement variant entre 18 et 26 tonnes par hectare, ce qui fait de cette culture un levier important pour l’économie agricole. Cependant, pour exploiter pleinement ce potentiel, plusieurs éléments influent sur la production de manière significative.
Le rendement du palmier à huile repose avant tout sur la qualité du matériel végétal utilisé. Choisir des variétés de plants performants et adaptés aux conditions locales garantit non seulement une production élevée, mais aussi une meilleure résistance aux aléas climatiques. À cela s’ajoutent les conditions pédoclimatiques, c’est-à-dire la nature des sols et le climat, qui jouent également un rôle fondamental dans la croissance et la fructification de la récolte.
La gestion rigoureuse des plantations de palmiers à huile et la maîtrise des techniques d’exploitation sont des facteurs tout aussi déterminants. Une récolte généreuse et économiquement viable dépend de la maturité des régimes. Récolter des régimes parfaitement mûrs permet d’optimiser l’extraction de l’huile.
Par ailleurs, pour conserver la fraîcheur et les qualités intrinsèques des graines, il est recommandé de livrer les régimes de palme et les graines détachés à l’usine dans un délai maximum de 24 heures après la récolte. Le respect de ce délai permet de garantir une huile de palme brute de qualité avec une acidité conforme aux normes nationales.
À Scoops Jobi IAPA, nous intégrons parfaitement ces bonnes pratiques pour assurer aux usiniers d’offrir une huile de palme de qualité, tout en garantissant la durabilité des cultures et la satisfaction de nos partenaires.